Le « devenir inachevé » de l’« écriture transitoire »

La FMSH organise la table ronde Le « devenir inachevé » de l’« écriture transitoire », ou quels sont les espaces qui émergent en écrivant conjointement ?

Dans le cadre du programme Arts & SHS, en collaboration avec l’École des Arts de la Sorbonne, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.

La question principale que pose le projet est celle de savoir : « comment le langage et l’écriture peuvent avoir un potentiel inter-subjectif ? ». Il propose alors de constituer des « communautés temporaires pour des ateliers d’écriture collective ». Cette proposition de recherche considère l’écriture de recherche artistique comme une pratique à la fois esthétique et de recherche formant une expérience expérientielle de connaissance. Le titre de la recherche « écriture transitoire en tierra de nadie » fait référence au concept d’États-nations, à leurs périphéries et à la formation de zones intermédiaires en relation avec, et tout au long, des frontières. Ces zones migratoires intermédiaires et indéterminées ont inspiré la présente proposition de recherche. À travers une écriture éphémère et avec l’ambition d’interroger l’espace qui se propage et s’étend avec l’écriture conjointe, ce projet cherche à savoir comment l’écriture collective peut ouvrir et initier des espaces ?

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Le groupe du projet « écriture transitoire en tierra de nadie » ou « transitory writing in no one’s land » se compose de cinq artistes, chercheurs et écrivains :

• Emma Cocker, MCF, Université de Nottingham Trent
• Andrea Coyotzi Borja, chercheuse-artiste
• Cordula Daus, Elise Richter Peek Fellow, Université d’Arts Appliqués de Vienne
• Paula Urbano, artiste visuelle, Centre multiculturel, Suède
• Lena Séraphin, chercheuse principale du projet

La table ronde sera animée par Neli Dobreva, Institut ACTE, EAS, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne