Amir Tehrani est docteur en sociologie de l’université Tarbiat Modares de Téhéran, avec une thèse sur le rôle de l’automobilité dans la structuration de la techno-politique et de la vie sociale en Iran prérévolutionnaire (années 1950–1970), après un master à la London School of Economics and Political Science (LSE). Il a enseigné la sociologie urbaine et la théorie sociale dans plusieurs universités iraniennes et animé des ateliers interdisciplinaires sur les études urbaines et l’ethnographie. Ses recherches portent sur l’automobilité, le développement postcolonial et les perspectives transnationales sur la modernité et l’expertise, avec un intérêt particulier pour la manière dont la mobilité façonne les sociétés et les ordres politiques.
Le projet
Titre : Explorer les connexions françaises dans l’automobilité iranienne : réseaux transnationaux d’industrie, de technologie et de culture (années 1960–1970)
Tehrani, A. (2022). « La règle de la circulation dans la ville », in Jahanshad, P. (dir.), Rethinking City: Urban Governmentality [en persan]. Téhéran : Roozabahan Publications.
Tehrani, A., & Vaghefi, I. (2017). « Où s’arrête Téhéran ? : repenser l’urbanisation de la ville nouvelle de Pardis », in Hashti Tehran. Téhéran : Bon-gah Publications.
Traductions
Auteurs divers (2023 [2009]). Section « Mobilities ». In The Blackwell City Reader (2e éd.), traduit en persan par Tehrani, A., et al., sous la direction de Khatam, A. et Salimi, F. Téhéran : Shirazeh Publications
Lefebvre, H. (2015 [2013]). “Dissolving City, Planetary Metamorphosis.” In Brenner, N. (Ed.), Implosions/Explosions: Towards a Study of Planetary Urbanization. Translated to Farsi by Tehrani, A. Problematica Online Magazine.