Écritures de la violence extrême
9h30
Ouverture et présidence
par Cécile Boëx & Richard Rechtman
(D)écrire
9h45-10h45
« Qu’est-ce que ça veut dire ‘l’extrême’? »
Ann Laura stoler (new school for social research, ny)
10h45-11h45
Écrire "face à ce qui se dérobe"
Anouche Kunth (CNRS)
Pause
12h-13h
Traductions et écritures comme outils d’objectivation. Réflexions à partir d’une recherche sur l’infanticide génocidaire
Violaine Baraduc (EHESS)
13h-13h30 - Discussion
13h30-14h30 - Déjeuner
Traduire la violence… en justice
14h30-14h45
Présidence
Cloé Drieu, discutant Timothée Brunet-Lefèvre
14h45-15h45
Comment le droit (se) traduit (dans) l’expérience ?
Damien Scalia (uLB)
15h45-16h45
Muzungu à la cpi
Franck Lebovici & Julien Seroussi (FMSH, CNRS)
Pause
17h-18h
Des cauchemars à l'écriture : décrire la folie criminelle
Luigigiovanni Quarta (Université de Bergame)
18h-18h30
Discussion générale et conclusion
Le programme RICEVE, réseau international de chercheurs et chercheuses à l’épreuve des violences extrêmes, entend étudier la façon dont les chercheurs, qu’ils soient historiens, sociologues, anthropologues, politistes, juristes, etc., peuvent être confrontés à la violence et à des atrocités tels crimes, génocides, tortures, viols de guerre, exécutions, etc. sur leurs terrains de travail. RICEVE est dédié à l'analyse et la problématisation des effets indirects de la violence extrême sur les sujets qui les étudient.