Exil et post-exil

Ce texte a été rédigé dans le cadre du séminaire « L’expérience de l’exil » du Collège d’études mondiales (septembre à mai 2013, Paris).
Les expériences et identités exiliques aujourd’hui ne répondent pas aux critères connus. On peut avoir la nostalgie d’un pays que l’on n’a jamais connu, éprouver le manque d’une langue que l’on n’a jamais parlée. Le concept de post-exil veut rendre compte du phénomène en recevant trois compréhensions : le post-exil comme l’après-exil, le retour d’exil, le terme de l’épreuve ; exil et post-exil comme deux expériences distinctes et successives au sein d’un parcours individuel ou au gré d’un passage générationnel ; exil et post-exil comme deux modes de manifestation ou d’expression de l’exiliance dans un rapport dialectique de concomitance.
Ce texte fait partie d’une série :
- Alexis Nuselovici (Nouss), Étudier l’exil, FMSH-PP-2013-09, septembre 2013.
- Alexis Nuselovici (Nouss), L’exil comme expérience, FMSH-WP-2013-43, septembre 2013.
- Alexis Nuselovici (Nouss), Exiliance : condition et conscience, FMSH-WP-2013-44, septembre 2013.
- Alexandra Galitzine-Loumpet, Pour une typologie des objets de l’exil, FMSH-WP-2013-46, septembre 2013.


Ce que la question du genre dit des sociétés


Westkunst, 1981


Le corps du genre

