Que faire des images de la violence extrême ?
Le Réseau International des Chercheuses et chercheurs à l’épreuve de la Violence Extrême (RICEVE), dédié à l'analyse et la problématisation des effets indirects de la violence extrême sur les sujets qui les étudient, organise une nouvelle journée d'études autour de la question : Que faire des images de la violence extrême ?
Présidence Richard Rechtman
9h15
« Ce que fait la violence à ceux qui la filment et à ceux qui la regardent »
Cécile Boex
10h15
« La dernière image : usurpation de l’identité des manifestants mis à mort en marge du mouvement 'Femmes, vie, liberté en Iran' »
Parand Danesh
11h15
« Images de violence dans les séries sécuritaires post 11 septembre »
Sandra Laugier
12h15-13h00
Discutant Marco Motta
Présidence Gil Anidjar
14h15
« Autour d’un corps déchiqueté : les arts visuels à l’épreuve du terrible en Syrie »
Nibras Chehayed
15h15
« Painting Home : Understanding the intergenerational trauma of Somali mothers in the UK »
Nikita Simpson
16h15
« Le massacre de Boutcha (Ukraine, 2022) : foyers et outils de la collecte de preuves »
Christian Delage
17h15 -18h00
Discutant.e.s Sara Guindani, Timothée Brunet Lefevre
Le programme RICEVE, réseau international de chercheurs et chercheuses à l’épreuve des violences extrêmes, entend étudier la façon dont les chercheurs, qu’ils soient historiens, sociologues, anthropologues, politistes, juristes, etc., peuvent être confrontés à la violence et à des atrocités tels crimes, génocides, tortures, viols de guerre, exécutions, etc. sur leurs terrains de travail. RICEVE est dédié à l'analyse et la problématisation des effets indirects de la violence extrême sur les sujets qui les étudient.
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