Séance initiallement prévue le 3 mars
Séance du séminaire Racisme et antisémitisme : perspectives globales, nationales et locales par Judit Bokser
Séance initiallement prévue le 3 mars
Séance du séminaire Racisme et antisémitisme : perspectives globales, nationales et locales par Judit Bokser
À l'occasion de la parution en mars 2021 aux Éditions de la MSH de l'ouvrage Lieux de mémoire sonore. Des sons pour survivre, des sons pour tuer (coll. Le (bien) commun), les directeurs de l'ouvrage Luis Velasco-Pufleau et Laëtitia Atlani-Duault échangeront pendant 45 minutes avec le journaliste de Libération Thibaut Sardier.
Lieux de mémoire sonore est une somme exceptionnelle sur les usages des sons et des pratiques musicales dans des situations de crise humanitaire, de guerre civile, d’exil ou de catastrophe naturelle. Ce travail conjoint entre chercheurs et musiciens présente différents contextes de violence organisée et les exemples choisis couvrent de nombreuses régions du globe (Liban, Syrie, Vanuatu, Canada, Viêt Nam et plusieurs pays européens...)
La violence sous toutes ses formes constitue aujourd’hui un vaste domaine de recherche dans le champ des sciences humaines et sociales. Il n’en va pas de même pour la prévention et la sortie de la violence qui relèvent d’un espace peu structuré, où les connaissances sont plus empiriques que théorisées, et produites par des acteurs de terrain (ONGs, associations), des experts ou des professionnels bien plus que par des chercheurs en sciences humaines et sociales.
Intervenante :
Magda Helena Dziubinska – postdoctorante anr amaz, las
Discutant :
Olivier Allard – ehess, las
Le programme de l’année 2020-2021 porte sur la thématique : Détresses globales : politiques et productions de subjectivités. La discussion de la première séance de l'année s'ouvrira autour de l'ouvrage de Monique Sélim Anthropologie d'une pandémie.
lien de connexion
ID de réunion : 995 5524 0987
code : 021593
Intervenant :
Valérie Robin – Université Paris-Descartes
Discutants :
Anne-Marie Lczyoson – EPHE, et Michel Naepels – CNRS/EHESS, CEMS
Pouvoir entendre les « sans-voix », donner de la voix à celles et ceux qui sont rendus inaudibles au sein de systèmes sociaux dont le fonctionnement repose précisément sur le pouvoir de « faire taire » et de rendre silencieuses les figures pourtant si présentes dans les vies sociales, est une question à laquelle les chercheurs du temps présent s’adressent non sans difficulté, recourant au « terrain », à la « relation » pour tenter de mettre en lumière les « si petits destins » de la violence subie.
Cette journée d'étude est annulée.
Créé en 1988, le "Fonds Louis Dumont pour la recherche en anthropologie sociale" offre annuellement une aide ponctuelle dévolue exclusivement à des projets d'enquête sur le terrain. Il s'adresse à de jeunes chercheurs ethnologues et anthropologues, de niveaux master 2, doctorat et post-doctorat, sans condition de nationalité mais obligatoirement basés et inscrits en France. Il est géré par la Fondation Maison des sciences de l’homme.